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ANTOINE de SAINT EXUPERY: LE PETIT PRINCE: THE LITTLE PRINCE | ||
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SAINT EXUPERY 1943 LE PETIT PRINCE -SAINT EXUPERY BIRTHDAY: 29th JUNE 1900 |
SAINT EXUPERY 1900-1944 HERO -AVIATOR | |
THE TARTAR STEPPE-1940- BUZATTI |
1863- JULES VERNE : 5 SEMAINES EN BALLONS -NANTES -read in 1984 -2020 | GUY DE MAUPASSANT : MY FAVORITE NOVELIST: LE HORLA: birth:5thAug 1850-1893 |
Le talent provient de l'originalité, qui est une manière spéciale
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MAUPASSANT:BEL AMI / MONT ORIOL : FORT COMME LA MORT / PIERRE ET JEAN | |
POESIE - POETRY - POEMES -1701.. Demain , dès l'Aube....Victor Hugo02..Chanson d'Automne : Paul Verlaine 03..Le Dormeur du Val : Arthur Rimbaud 04.. Mai : Guillaume Apollinaire 05..Le Cancre : Jacques Prévert 06.. Le Bateau Ivre : Arthur Rimbaud 07.. L'Albatros : Charles Baudelaire 08.. La Fontaine de Sang : Charles Baudelaire 09.. La Chevelure - Charles Baudelaire 10.. Melancholia : Victor Hugo 11.. Colloque Sentimental : Paul Verlaine 12.. Liberté : Paul Eluard 13.. Les Yeux D'Elsa : Aragon 14..Fantaisie : Gérard de Nerval 15.. Voyelles : Arthur Rimbaud 16.. Mon rêve Familier : Paul Verlaine 17.. Mignonne : Pierre de Ronsard |
Victor Hugo :: Demain , dès l'Aube....Demain, dès l’aube, à l'heure où blanchit la campagne,Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo : extrait du recueil Les Contemplations 1856 A Léopoldine Hugo 1824-1843 Villequier Rives sur Seine |
V.Hugo 1802-1885 & C.Baudelaire 1821-1867 |
REGAIN: JEAN GIONO 30 mar1895- 8 oct1970 Manosque |
JEAN CHRISTOPHE GRANGE: LA LIGNE NOIRE |
RANKING OF GRANGE's BOOKS1.. LA LIGNE NOIRE - THE BLACK LINE- 18/202.. LE VOL DES CIGOGNES - FLIGHT OF THE STORKS - 17/20 3..LA FORET DES MANES 16/20 4.. LE PASSAGER 15/20 5.. MISERERE 14/20 6.. KAIKEN 13/20 7..LE SERMENT DES LIMBES 12/20 8..CONGO REQUIEM - under construction 9..LONTANO - under construction 10..L'EMPIRE DES LOUPS 10/20 11.. LE CONCILE DE PIERRE 9/20 12..LES RIVIERES POURPRES 8/20 | TRIBUTE TO TOM CLANCY : THE HUNT FOR RED OCTOBER |
TRIBUTE TO TOM CLANCY THE HUNT FOR RED OCTOBER |
THE HUNT FOR RED OCTOBER (BOOK) | |
CELINE VOYAGE AU BOUT DE LA NUIT ... |
CHANSON D'AUTOMNE-VERLAINE Dday - RIMBAUD : POETRY |
Arthur RIMBAUD(1854-1891)- Le bateau ivre
Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guide par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloues nus aux poteaux de couleurs. J_etais insoucieux de tous les equipages, Porteur de bles flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m'ont laisse descendre ou je voulais. Dans les clapotements furieux des marees, Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Peninsules demarrees N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a beni mes eveils maritimes. Plus leger qu'un bouchon j'ai danse sur les flots Qu'on appelle rouleurs eternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Plus douce qu_aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte penetra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et des lors, je me suis baigne dans le Poeme De la Mer, infuse d'astres, et lactescent, Devorant les azurs verts ; ou, flottaison bleme Et ravie, un noye pensif parfois descend ; Ou, teignant tout a coup les bleuites, delires Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs ameres de l'amour ! Je sais les cieux crevant en eclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L'Aube exaltee ainsi qu'un peuple de colombes, Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir ! J'ai vu le soleil bas, tache d'horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames tres antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! J'ai reve la nuit verte aux neiges eblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des seves inouies, Et l_eveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hysteriques, la houle à l'assaut des recifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Oceans poussifs ! J'ai heurte, savez-vous, d'incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères a peaux D_hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais enormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Leviathan ! Des ecroulements d'eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! echouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents geants devores des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. Des écumes de fleurs ont berce mes derades Et d'ineffables vents m'ont aile par instants. Parfois, martyr lasse des poles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux... Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens freles Des noyes descendaient dormir, à reculons ! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'ether sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repêche la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monte de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poetes, Des lichens de soleil et des morves d'azur ; Qui courais, tache de lunules électriques, Planche folle, escorte des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Behemots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilites bleues, Je regrette l'Europe aux anciens parapets ! J'ai vu des archipels sideraux ! et des iles Dont les cieux delirants sont ouverts au vogueur : Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonfle de torpeurs enivrantes. o que ma quille éclate ! o que j'aille a la mer ! Si je desire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crepuscule embaume Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigne de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons. |
1925 L'or BLAISE CENDRARS 1887-19611721 Lettres Persanes MONTESQUIEU 1689-1755Memoires d'Outre-Tombe CHATEAUBRIANT 1768-1848Charles BAUDELAIRE 1821-1867 |
Sido : COLETTE 28jan1873-3Aug1954LIBERTE - PAUL ELUARD 14dec1895-18nov1952LE MARIAGE DE FIGARO : BEAUMARCHAIS 1732-1799ROMAN DE LA MOMIE THEOP. GAUTIER 1811-1872ZADIG : CANDIDE VOLTAIRE 1694-1778CHANTS DE MALDOROR: LAUTREAMONT 1846-1870AURELIA - GERARD DE NERVAL1808-1855LENOIR:PROMESSE DE L'ANGE ORACLE DELLA LUNA | |
Le dormeur du valC'est un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est etendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côte droit. Arthur RIMBAUD | BLADE RUNNER - DO ANDROIDS 1968..... by Philip K DICK | |
BLADE RUNNER --PHILIP K DICK: LE MAITRE DU HAUT CHATEAU / UBIK/ LOTERIE SOLAIRE /.... | ||
2 BR BOOK COVERSof-PHILIP K DICK - DO ANDROIS DREAM OF ELECTRIC SHEEPS ? ( Blade Runner) !! | ||
1903-1950: George ORWELL :1984JOHN COLLONNY : L'ANGE NOIR / LES ANGES DE LA NUIT ... |
Lettres A Elsa: Louis Aragon 1897-1982L'ECUME DES JOURS-1947-LE DESERTEUR :-BORIS VIAN | |
MARCEL PAGNOL :LA GLOIRE DE MON PERE 1957- LE CHATEAU DE MA MERE 1957
Dear little Manon, the notary "des OMBREES" will tell you that I´m leaving you my whole estate. |
E.BEART : MANON DES SOURCES
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Thursday 12th of September 2024 |
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Webmaster : Freddy FPe Thursday 12th of September 2024 by freddy, based on
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